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SUR LA ROUTE : Entrevue avec Jocelyne Cazin (Je choisis la vie)
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SUR LA ROUTE : Entrevue avec Jocelyne Cazin (Je choisis la vie)

Ce mois-ci, dans le cadre du PepTalk sur la route, nous rencontrons une dame que vous connaissez bien. Même si on la voit un petit peu moins souvent qu’auparavant, elle demeure tout de même très active, de par les livres qu’elle a écrits et ses nombreuses animations et conférences.

Je vous parle évidemment de Madame Jocelyne Cazin.

LE MOIS DE JANVIER N’EST PAS FACILE

Madame Cazin nous parle de sa conférence « Je choisis la vie ».  En fait, selon elle, c’est n’est pas un choix mais une évidence.

Elle nous mentionne qu’elle a « côtoyé » le suicide à 5 reprises, dans sa vie. Évidemment, il y en a un qui a été plus médiatisé que les autres, mais selon elle, chaque suicide est un suicide de trop. Dans le cas de Gaétan Girouard, c’est arrivé le 14 janvier 1999.

Évidemment, le mois de janvier n’est pas un mois facile pour les gens qui ont tendance à la déprime. Mis à part le froid et les tempêtes, le mois de janvier est un moment propice pour faire le bilan de notre vie, et malheureusement, certains étant sans espoir prennent la décision d’en finir.

En plus, cette année, avec la pandémie qui n’en finit plus de finir, le confinement et le couvre-feu, il est normal de trouver ça difficile.

 

IL FAUT CHOISIR LA VIE

Selon elle, l’élément « accrocheur » à la vie, c’est d’avoir des projets. Comme elle le mentionne régulièrement en conférence : « Lorsqu’on n’a pas de projet, on n’a pas de vie. »

Un autre élément qui est aussi très important pour aimer la vie, c’est la reconnaissance. Elle se plaît à dire que : « La reconnaissance, c’est l’essence dans le moteur de la vie ». Elle parle évidement de la reconnaissance pour ce qu’on est et non pas uniquement pour ce que l’on fait. Et il est essentiel de s’offrir de la reconnaissance et d’en offrir aux autres.

Selon elle, il faut voir les moments sombres et la souffrance comme une étape de vie et une étape qui va finir par finir. La souffrance n’est jamais permanente.

Elle mentionne aussi que lorsqu’on est au fond du baril, il faut accepter les mains tendues lui nous sont offertes. Et il y en a souvent des mains tendues.

 

Elle termine l’entrevue en citant une phrase qui vient de l’Association de la prévention du suicide : « Le suicide n’est pas une option, je choisis la vie. »

 

On pourrait conclure en ajoutant : Peu importe ce qui est arrivé en 2020, en 2021 je choisis la vie.

 

Merci Mme Cazin!

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